Anarchist Kostas Sakkas, who was arrested together with anarchist Alexandros Mitrousias in 2010 carrying guns, is accused of participating in the anarchist guerilla group Conspiracy of Cells of Fire, something that both he and the group deny. The Greek state held him imprisoned over the legal limit of 18 months and K.Sakkas struggled for his freedom by hunger-striking in June 2013.Kostas Sakkas was arrested again on Thursday, January 16. This time, counter-terror police narration claims that Kostas’ fingerprints were found on objects at the house of Haris Hatzimichelakis, member of CCF guerilla group, arrested back in September 2009 during a counter-terror squad raid.
Greek police attempts to justify the hilarious fact that Kostas’s fingerprints, who was arrested back in 2010 and was kept imprisoned, were identified only today, almost 4,5 years later. Cops claim that although Kostas Sakkas was arrested and obviously thoroughly investigated by the counter-terror squad in 2010, they had no fingerprints of him.
A week earlier Kostas Sakkas was arrested again for presumably violating his restriction conditions, when he spent some hours overnight at a friendly house. Sakkas was released the next day since court cleared him of the unstable charge.
Solidarity to K.Sakkas
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L’anarchiste Kostas Sakkas a été arrêté de nouveau
L’anarchiste Kostas Sakkas, qui a été arrêté avec l’anarchiste Alexandros Mitrousias en 2010 en portant des armes, est accusé de participer dans le group pratiquant la lutte armée Conspiration de Cellules de Feu, quelque chose nié par lui et le groupe. L’état Grec le tenait imprisoné bien plus que le limit juridique de 18 mois et K.Sakkas a lutté pour sa liberté en faisant une greve de faim pendant 38 jours en Juin 2013.
Kostas Sakkas a été donc de nouveau arrêté le Jeudi, 16 Janvier. Cette fois, la police anti-terroriste affirme qu’ils ont trouvé ses empreintes digitales sur des objets dané la maison de Haris Hatzimichelakis, membre de la CCF, arreté en 2009 pendant une descente de la police antiterroriste.
La police grecque tente de justidier le fait redicule que les empreintes digitale de Sakkas, arreté en 2010 et imprisoné, sont identifiés que aujourd’hui, presque 4,5 ans plus tard. Les flics affirme que meme si Sakkas etait imprisoné et bien evidement enquete approfondiment par la police antiterroriste en 2010, ils n’avaient pas trouvés des empreintes digitales.
A noter aussi que la semaine derniere Kostas Sakkas a été arrêté pour une violation des ses conditions de garanties, comme il a dormi chez une amie. Sakkas a été libéré le lendemain.